Repenser l’expédition : Ce que nous avons appris de Let My People Go Surfing
Récemment, nous avons commencé à appliquer certaines leçons tirées de Patagonia et du livre de Yvon Chouinard, Let My People Go Surfing. L’un des enseignements clés ? Le coût énergétique du transport de marchandises varie considérablement selon le mode utilisé—train, bateau, camion ou avion. La différence est frappante.
Pour mieux comprendre, voici la quantité d’énergie nécessaire pour transporter une tonne de marchandises sur un mile :
• Train ou bateau : 400 BTU
• Transport de marchandises par camion : 3 300 BTU
• Transport aérien : 21 670 BTU
En termes simples, l’expédition par avion consomme 6,5 fois plus d’énergie que le transport terrestre. Une fois ce constat établi, la conclusion était évidente : sauf en cas de nécessité absolue, les envois aériens doivent être évités.
Réduction des expéditions aériennes
Dans un premier temps, nous avons supprimé les options d’expédition par avion lorsque le transport terrestre est disponible pour le même trajet. Cela permet de réduire considérablement notre empreinte énergétique.
Mais ce n’est pas suffisant.
Nous envisageons d’être là pour les 50 prochaines années et plus, et la durabilité ne se limite pas à éviter le transport aérien.
Expédition neutre en carbone
C’est pourquoi nous nous sommes associés à Planet pour compenser toutes les émissions de carbone liées à nos livraisons. L’empreinte de chaque envoi est calculée en fonction du poids, du mode de transport et de la distance parcourue. Nous neutralisons ensuite ces émissions en achetant des crédits de suppression de carbone vérifiés auprès de projets de durabilité innovants.
Ce n’est qu’une des initiatives que nous mettons en place pour que l’acheminement de nos produits ait un impact plus léger sur la planète.
